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Parce qu'il nous faut penser à la sécurité et à la santé de toutes les personnes qui avaient décidé de prendre part aux séjours de vacances (en ce compris les animateurs professionnels et volontaires qui devaient accompagner les groupes), le Conseil d'administration, lors de sa dernière réunion, s'est interrogé sur le maintien ou non des séjours prévus à l'étranger pendant l'été.

Il nous est apparu assez rapidement que le risque était important et que les mesures à mettre en oeuvre pour pouvoir garantir la sécurité de tous auraient imposé à tous les participants une attention de tous les instants pour limiter les risques ! Ce n'aurait donc été des vacances pour personne !

Au moment de rédiger ces lignes, aucune décision n'a été prise par rapport aux deux séjours organisés en Belgique. Sauf décision contraire du gouvernement, ceux-ci devraient pouvoir être avoir lieu, en veillant à des règles strictes en termes de distanciation sociale.

La décision d'annuler les séjours à l'étranger n'a pas été facile à prendre... Elle a par contre été prise dans le but de protéger les membres du Silex et de veiller à la santé de chacun. Elle a aussi été prise dans l'idée de proposer un programme alternatif bien rempli en été (activités diverses et variées, stages d'été,...). Le programme sera communiqué prochainement. Nous veillerons par contre à proposer des activités dans le respect des mesures de distanciation sociale et d'autres règles que le gouvernement imposerait pour la reprise des activités culturelles.

Sachez que nous avons pris le temps nécessaire pour prévenir chacune des personnes qui devaient participer à un séjour, individuellement et par des échanges téléphoniques personnalisés. C'était important de prendre ce temps pour que chacun puisse exprimer sa frustration de voir une partie de ses vacances être annulée à cause de ce virus...

Maintenant que l'information a été transmise à chacun, qu'elle a pu être digérée par la plupart de nos membres, nous la communiquons à toutes et tous, par ce biais et par d'autres biais. Cette décision illustre en effet particulièrement bien les difficultés particulières d'une association qui fait de la rencontre et du loisir collectif sa marque de fabrique en cette période où les regroupements sont interdits (et ce depuis presque deux mois et demi).